Qu’on soit un être sauvage domestiqué
Ou un petit être insécure à apprivoiser
Reconnaître son humanitude, ses besoins fondamentaux
c’est la loi de son espèce.
Accepter de se protéger soi en premier, c’est la loi de la nature.
Accepter d’être le seul responsable de sa satisfaction, c’est la loi de la survie.
Nier sa nature, c’est nager à contre-courant, c’est gaspiller ses forces. Il est préférable de faire confiance aux vagues intérieures et de se laisser bercer en gardant le sourire.
Être maître de ses gestes, de ses allées.
Suivre son nez et dessiner son chemin.
Rester ouvert aux autres, au monde.
La liberté incarnée par l’instinct qui renifle, qui trouve la piste qui nourrira l’être en entier.
Etre confiant sans preuve.
Être là, sans croire.